Après son licenciement des Z’amours, Tex affirme avoir tout perdu
L'animateur explique ne pas avoir à se plaindre mais envisage de vendre ses appartements.
C’est en 2017 que Tex, animateur vedette depuis plusieurs années du programme les Z’amours, a été renvoyé de France 2. Une éviction justifiée par une blague déplacée sur les femmes battues chez C8 dans l’émission de Cyril Hanouna, Touche pas à mon poste. Tex avait alors trainé en justice France Télévisions pour un licenciement que ce dernier considère comme abusif. Trois ans après les faits, l’animateur est revenu sur sa situation actuelle, décrite comme difficile, chez Non Stop People. L’homme affirme avoir tout perdu depuis son éviction des Z’amours.
Tex annonce qu’il pense à vendre ses appartements
Tex a connu son âge d’or sur France 2 avec la présentation des Z’amours. Une présentation terminée très rapidement après une blague déplacée chez C8 qui avait provoqué la colère des spectateurs et nombreux signalements au CSA. Depuis, l’animateur est en guerre contre France Télévisions et a traîné la chaîne en justice pour “faute grave“, demandant 1,2 millions d’euros de dédommagement. Tex en avait finalement obtenu 45 000 – très loin de la somme demandée. Ce dernier avait alors confié “l’échec du procès, c’est encore pire que d’être viré“.
Pour Tex, qui n’est pas retourné à la télévision depuis 2017, la situation serait très difficile. L’animateur confit avoir “tout perdu” et explique “j’avais comme un bon breton mis de l’argent de côté dans le cellier, j’avais acheté un peu des appartements et je pense que d’année en année je vais revendre des appartements et je vais vivre là-dessus“. Tex explique tout de même ne pas se plaindre de sa situation financière.
En 2017, après sa blague douteuse sur les violences conjugales, Tex avait publié un message d’excuse sur son compte Facebook. Des excuses qui n’étaient pas passées puisque Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les hommes et les femmes, avait dénoncé “une sortie indigne et irrespectueuse“, banalisant les violences conjugale. Le CSA avait alors été saisi.