Carla Moreau : accusée de sorcellerie, elle aurait portée plainte
Une affaire décidément de plus en plus étrange, dont on ne sait plus très bien démêlé le vrai du faux.
Fidèle de l’émission Les Marseillais et présente depuis la cinquième saison (Les Marseillais : South Africa) Carla Moreau a depuis écumé les différentes variations de l’émission de télé-réalité : Les Marseillais vs le Reste du Monde 2, Les Marseillais Australia, South America, Asian Tour, Aux Caraïbes et dernièrement Les Marseillais vs le Reste du Monde 5. Devenue proche au fil des émissions de différents candidats dont Maeva Ghennam.
“Carla est allée déposer plainte”
On apprenait il y a quelques jours sur le plateau de TPMP par le blogueur Marc Blata, via un enregistrement, que Carla Moreau souhaitait du mal à ses compagnons de route de l’émission, notamment Océane El Himer, Manon et Julien Tanti, son amie Maeva Ghennam ainsi que son propre mari, Kevin Guedj. Selon le blogueur, après avoir consulté une voyante dont la vision se serait exaucé (la coiffeuse marseillaise souhaitait devenir célèbre), elle s’en est remise à la sorcellerie. Gilles Verdez lui-même confiait sans un sourire avoir été victime d’une tentative d’ensorcellement, ce qu’il appelait un “sort de ruine” dont il estime le coût entre 5 000 et 50 000€.
Face au scandale naissant, Maeva Ghennam qui s’était retournée contre son amie, a rapidement regretté et faisait un mea culpa sur Snapchat en assurant que “tout est faux“, que l’affaire était “trop complexe“. L’on en savait pas plus alors, quoique l’on pouvait supposer que les enregistrements étaient des deep fakes, imitation parfaite de la voix de Carla Moreau grâce à des logiciels. Quoiqu’il en soit, Magali Berdah, invitée hier de TPMP, dévoilait la raison pour laquelle le mari de Carla Moreau, Kevin Guedj, s’était empressé de prendre l’avion pour Dubaï. Selon elle :
En fait il est allé voir ses amis pour leur expliquer que sa femme samedi matin Carla est allée déposer une plainte avec plusieurs griefs : chantage, atteinte à la vie privée par enregistrement ou captation, abus de faiblesse, et escroquerie.
D’après ces explications, on comprend que l’enregistrement de la note audio a été fait à son insu, et qu’on a cherché à la faire chanter avant de divulguer au public leur contenu. Une affaire dont on devrait encore entendre parler.