Charlotte de Turckheim : Laurent Ruquier taquine l’actrice sur un film X tourné à son insu
Alors qu'elle était jeune étudiante et sans le savoir, Charlotte de Turckheim a tourné quelques plans pour un film érotique.
Alors qu’elle fait la promotion de son ouvrage intitulé Le dictionnaire de ma vie, Charlotte de Turckheim est passé sur le plateau de On est en direct animé par Laurent Ruquier. Et autant dire que les révélations du journaliste ont surpris les invités.
“Je me dis que le film est charmant et adorable”
Faisant la liste des choses inclues dans le dernier livre de la réalisatrice, Ruquier remarque qu’elle tait un fait peu connu, qu’elle aurait pu inclure à la lettre G : “Elle n’est pas revenue sur un truc par contre, c’est le film X qu’elle a tourné. Elle n’en parle pas de ça, vous avez remarqué. À la lettre G vous auriez pu mettre Le Gibier !” Ce film érotique de Bernard Launois, tourné en 1975 et aussi intitulé Les Dépravées du plaisir, avait pu compter sur la participation de Charlotte de Turckheim. Elle a répondu du tac au tac qu’elle n’avait pas besoin d’en parler, étant sûre que Laurent Ruquier mettrait le sujet sur la table. Puis, se tournant vers Frédéric Beigbeder, premier surpris, elle précise : “Je suis quand même la seule à avoir tourné dans un film porno sans s’en rendre compte ! C’est assez pathétique.”
En 2017, lorsqu’elle faisait la promotion du film Meurtre au carnaval de Dunkerque sur le plateau de C à vous, Anne-Sophie Lapix l’avait déjà interrogé sur cet évènement singulier de sa carrière et elle s’en était expliqué ainsi : “On avait 20 ans, j’étais au cours de théâtre et un mec nous demande : “Qui veut faire de la figuration dans un film qui va être tourné la semaine d’après ?” Et en plus c’était super bien payé, genre 500 ou 1000 euros la journée. […] On nous demande de nous promener dans la forêt et de ramasser des fleurs et tout ça. Donc je me dis que le film est charmant et adorable. […] Et c’était l’été, on avait des petites jupes courtes et je n’avais pas réalisé que la caméra était au ras du sol“. Une histoire qui ne s’invente pas !