Covid-19 : L’humoriste Pascal Légitimus n’a pas confiance dans les laboratoires pharmaceutiques
Pascal Légitimus est l'une des vedettes de la nouvelle série de France 2 "Réunions", portée par Laetitia Milot et Loup-Denis Elion. Lors d'un interview donné à Télé7jours, il revient sur l'épidémie du coronavirus.
Alors que France 2 n’a pas encore officiellement annoncé de saison 2 pour sa série « Réunions », Pascal Légitimus continue la promotion de son dernier livre L’Alphabêtisier sorti en novembre dernier aux éditions Michel Lafon. En forme, l’ex des Inconnus a plutôt bien vécu le confinement, et pour cause : « Écoutez pour moi ça ne change pas trop : je suis souvent en confinement pour travailler. Mais ma famille va bien, la santé est bonne, je suis heureux. Il faut être prudent maintenant. Évidemment ce qui est gênant, c’est que nous n’avons pas assez d’informations réelles, c’est que du flou. On entend de tout et n’importe quoi, sur BFM TV c’est très anxiogène. Il y a des gens qui nous rassurent, ensuite il y a le professeur Raoult, ensuite on nous dit ‘non, Raoult ce n’est pas bien’, vaccin ou pas vaccin… C’est très compliqué« , s’inquiète le comédien.
Pour les intermittents, c’est dramatique
Sur cette crise, Pascal Légitimus est surtout inquiet pour les intermittents du spectacle : « Économiquement, pour les intermittents, c’est dramatique. Il y a beaucoup de professions comme les circassiens, les acrobates, les mimes, qui ont besoin d’un public et de travailler ensemble« .
Aucune confiance dans les laboratoires pharmaceutiques
Sur la possibilité d’un prochain vaccin, Pascal Légitimus reste très…dubitatif : « Sur l’aspect vaccin, médicaments, moi je n’ai aucune confiance dans les laboratoires pharmaceutiques. Déjà, j’ai entendu dire qu’il y avait un traitement à 400 euros, un autre à 120 euros, multipliez par des milliards et vous voyez ce que ça donne. Sachant que Monsieur Raoult a trouvé un truc qui coûte 11 euros, et qui est un spécialiste mondial en terme d’infection. Comme par hasard, il s’est fait descendre par des spécialistes payés par des laboratoires pharmaceutiques. Encore une fois, nous sommes victimes du business qui prend le pas sur la santé« …