Depuis la fin de sa carrière télévisuelle, Patrick Sébastien accuse « un trou financier énorme »
Patrick Sébastien est revenu sur sa nouvelle vie, un an après l'arrêt de son émission Le Plus grand cabaret du monde.
Patrick Sébastien se confie énormément ces derniers jours, à l’occasion de la sortie de son livre. L’animateur et chanteur avait notamment confié que Carlos fût d’une grande aide à la mort de son fils, pendant un accident de moto. Et c’est en mai 2019 que Patrick Sébastien a présenté la dernière du Plus grand cabaret du monde, 23 ans après son lancement. Démarre alors une nouvelle vie pour l’homme, loin de la télévision. Mais face à la situation, Patrick Sébastien accuse un « trou financier énorme » et a dû renvoyer plusieurs employés de sa société de production, comme il l’explique au micro de Télé Star.
Une vie sans télévision pour Patrick Sébastien
Patrick Sébastien aura passé une majeure partie de sa vie face aux caméras. Et depuis un an, ce chapitre est terminé. L’homme explique avoir “passé trente années fabuleuses à la télévision, et cinq de merde. je suis vachement content de ce que j’ai fait, mais ce monde est derrière moi. La télévision a beaucoup changé. Aujourd’hui, ce sont des mecs dans les bureaux qui ont le pouvoir de censurer. Et ces mecs-là ont un profond mépris pour mon public“.
Un mépris motivé pour l’aspect populaire du Plus grand cabaret du monde ? Peut-être bien, car ce n’est pas la première fois que Patrick Sébastien évoque le sujet. Quant à l’arrêt de cette émission emblématique, Patrick Sébastien confie une situation financière compliquée : “ça me fait un trou financier énorme mais la liberté a un prix”. Malheureusement, Patrick Sébastien n’a eu d’autre choix que de licencier certains employés de sa société de production Magic TV.
Pour rappel, une procédure judiciaire se tient à l’encontre de France Televisions. La chaîne et Patrick Sébastien n’ont pas arrêté en bons termes. Ce qui explique sans doute pourquoi l’animateur est si remonté contre ce qu’il appelle “des mecs dans les bureaux“.