Deux films d’horreur de 2024 partagent la même intrigue et perpétuent une tendance ratée du genre
L'histoire de "The First Omen" et "Immaculée", deux grands films d'horreur prévus pour 2024, semble être exactement la même. Ils marquent également le retour d'un élément clé qui divise le genre. Quel peut bien être cet élément ?
Tl;dr
- Les films d’horreur majeurs de 2024, Immaculée et La Malédiction : L’Origine, partagent une histoire similaire.
- Les deux films revisitent un thème d’horreur controversé, la grossesse horrifique.
- Malgré les différences esthétiques attendues, les films semblent visuellement homogènes.
- Ces similarités pourraient rendre difficile leur distinction pour le public.
Des récits en miroir
L’année 2024 promet d’être riche en frissons avec la sortie de deux blockbusters de l’horreur, Immaculée et La Malédiction : L’Origine. Ces deux films semblent partager la même intrigue, faisant écho à un thème récurrent et débattu du genre : la grossesse horrifique.
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Immaculée, en salles le 22 mars, raconte l’histoire d’une femme dévote envoyée dans un couvent italien, qui tombe enceinte et découvre les secrets terrifiants de ses habitants. Le 5 avril, La Malédiction : L’Origine suivra une intrigue presque identique. Les deux films semblent visuellement homogènes malgré les différences esthétiques attendues entre un blockbuster et une production indépendante, ce qui accentue davantage leurs similarités.
Une tendance difficile à apprécier
Immaculée et La Malédiction : L’Origine s’inscrivent dans la tendance de la grossesse horrifique, un sous-genre qui a du mal à séduire malgré de nombreuses tentatives ces dernières années. Cette difficulté pourrait être due à la complexité croissante du sujet de la grossesse, particulièrement aux États-Unis depuis l’abrogation de l’arrêt Roe vs. Wade.
On en pense quoi ?
Il est intéressant de voir comment le genre de l’horreur se renouvelle et tente de revisiter des thèmes controversés. Cependant, la similitude frappante entre Immaculée et La Malédiction : L’Origine pourrait desservir les deux films. Le public sera-t-il prêt à s’engager deux fois dans une histoire similaire ? Seul le temps nous le dira. Mais une chose est sûre, l’horreur de 2024 promet de faire couler beaucoup d’encre.