Jessica Alba : pourquoi l’actrice a décidé de s’éloigner des plateaux de tournage

Exit les longues heures à jouer devant des caméras, l'actrice a préféré se concentrer sur autre chose.

Révélée au public dans le film Honey de Bille Woodruff en 2003, Jessica Alba était promise à un grand succès, mais son dernier grand rôle en 2014 dans  Sin City : J’ai tué pour elle de Frank Miller et Robert Rodriguez marque peu ou proue la fin d’une carrière d’envergure. Si Machete et sa suite de Robert Rodriguez ou The Killer Inside Me sont de grands rôles, elle a également joué dans des navets tels que Bleu d’enfer, Les Quatre Fantastiques et Mon beau-père et nous qui ont compromis sa carrière.

“Je ne pouvais pas revenir à ce que je faisais avant et être sincère”

Elle a mieux réussi en affaires en co-fondant en 2012 avec Brian Lee une gamme de produits d’entretien non toxiques, The Honest Company, valorisée aujourd’hui à plus d’un milliard de dollars. Mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle elle s’est éloignée des plateaux de tournage. Dans une interview avec le magazine Romper, elle révèle les raisons intimes qui l’ont poussé à s’en tenir écartée :

Ma mère a eu un cancer très jeune, au début de sa vingtaine. J’ai grandi avec une maladie chronique. J’ai subi cinq opérations avant l’âge de 11 ans. J’avais des allergies chroniques, et j’ai beaucoup été hospitalisée quand j’étais enfant.

Devenir mère a changé ses objectifs :

J’ai eu un déclic où je me suis dit : “Je veux vivre et m’épanouir, passer le plus de temps possible avec cette petite personne que j’amène au monde. Ma santé compte. Je veux que cette petite personne soit en bonne santé. Et c’est vraiment très dur d’être heureux quand on n’a pas la santé.”

Soudainement, l’actrice a prit du recul sur ce qu’elle souhaitait de la vie :

Ma motivation n’était pas : “Est-ce que je vais être embauchée de nouveau un jour ?” Franchement, j’étais au sommet de ma carrière. [Après la naissance de mon enfant] je ne pouvais pas revenir à ce que je faisais avant et être sincère. Je ne pouvais simplement pas. Ça ne m’importait plus autant.