Jessica Thivenin : “J’ai le droit de dire que je ne suis pas bien”, son coup de gueule contre les “rabats-joie”
Les tensions entre l'influenceuse et sa communauté sont de plus en plus grandes. Sans mâcher ses mots, elle fait comprendre ce qui la gêne tant.
C’est devenu un sujet quotidien pour toute la presse people : les tensions entre Jessica Thivenin et ses fidèles sur Instagram (où elle suivie par 6,2 millions de personnes) sont de plus en plus fréquentes et de plus en plus vives.
“J’ai vu toutes les rabat-joies arriver”
Ces derniers jours, l’influenceuse a du s’y reprendre à plusieurs reprises, sans que cela fonctionne pour autant, pour expliquer à ses plus insistants d’entre ses fans qu’il ne fallait pas venir chez sonner chez elle. Même son époux, Thibault Garcia, a été contraint à prendre la parole : “Petit message pour les personnes qui viennent sonner chez nous. C’est très gentil de votre part de nous aimer mais s’il vous plaît, il est un peu tard. Ma femme comme vous le savez a des complications donc on a envie d’être tranquilles le soir. Maylone dort en plus. Ça fait quatre fois que ça sonne.”
Face à ce stress, Jessica Thivenin a eu des contractions alors que sa poche des eaux est d’ores et déjà fragilisée et qu’elle risque de perdre son bébé, une fille d’après une gender-reveal party tenue à Dubaï. Elle a en conséquence du être hospitalisée. Mais même là, elle a du demander à sa communauté de ne pas venir la visiter et d’arrêter les leçons de morale. Résultat, même lors de la Fête des mères, son moral n’était pas au beau fixe. En story Instagram, elle s’en est pris une fois de plus aux plus négatifs membres de sa communauté : “J’étais en train de regarder mes commentaires et de bloquer des gens du coup parce qu’ils me saoulent. Vous savez hier quand je disais que c’était la pire fête des Mères pour moi, j’ai le droit d’être pas bien moi aussi. Ce n’est pas parce que mon bébé ou mon fils Maylone n’est pas mort que je n’ai pas le droit de me plaindre de ma situation. J’ai vu toutes les rabat-joies arriver : “Oh ça va, moi mon fils est mort, toi tu es juste alitée”. On ne peut pas se comparer tout le temps aux gens. Je sais qu’il y a pire mais j’ai le droit de dire que je ne suis pas bien.” Espérons qu’ils retiennent la leçon !