Laurent Ruquier : sa position sur les conséquences du coronavirus choque les internautes
En se penchant sur le nombre de personnes décédées du Covid-19 par rapport à la population française, l'animateur radio et TV aurait minimisé les conséquences lourdes pour les familles des victimes selon les internautes.
Laurent Ruquier a d’ores et déjà prit des positions que ses auditeurs n’ont pas apprécié lors de ses prises de paroles, dernièrement lorsqu’il est venu défendre Nicolas Bedos sur le plateau de C à vous sur France 5. Ce dernier était farouchement anti-masques et invitait à “vivre, quitte à mourir” et regrettait de ne pouvoir rendre visite à son père, Guy Bedos, en maison de retraite, pendant le confinement.
Un autre point de vue… très critiqué
Laurent Ruquier disait être d’accord “sur le fond” avec le comédien et réalisateur, et dénonçait le manque de “cohérence dans les décisions qui sont prises“. Sur les réseaux sociaux, il a à la fois trouvé des soutiens et des détracteurs et semble avoir retenu la leçon en préférant s’attacher à des faits plutôt qu’à des opinions personnelles. Sur sa page Instagram, il a aujourd’hui publié un texte invitant à prendre “un autre point de vue” dans lequel on peut lire que 99,965% de la population française auraient survécu à l’épidémie de coronavirus.
Pris sous cet angle, les chiffres semblent rassurant, mais même un pourcentage aussi faible, une fois étalé sur 67 millions de français (en France métropolitaine) reste un nombre important. En France, à ce jour, 65,415 personnes sont décédées du Covid-19, et ce sont autant de familles endeuillées. La publication de Laurent Ruquier a rapidement été critiquée par les internautes, qui dénoncent le manque de tact de l’animateur. On peut ainsi lire :
Cher Laurent Ruquier, avez-vous le même angle de vue si nous abordons le sujet des agressions racistes, xénophobe ou homophobe ? Car dans ce cas, c’est vraiment insignifiant, n’en tenons pas compte…
Qu’entendez vous prouver ? Dans mon hôpital des gens comme vous, on aimerait ne pas se sentir obligé de les soigner quand même. Mais vous comptez sur le dévouement des soignants. J’enrage et je me désabonne.