Maëva Coucke : Miss France 2018 explique pourquoi elle n’a pas pu profiter pleinement de son année de règne
Élue pour un an seulement, les Miss France ont tout intérêt à profiter au maximum de l'année de leur règne. Malheureusement, pour Maëva Coucke, ce n'était pas le cas.
Cette semaine, et sous la condition que rien ne vienne perturber à la dernière minute son organisation, se tiendra le centenaire de l’élection Miss France. Présidé par Iris Mittenaere accompagnée pour cette mission de Muguette Fabris (Miss France 1963), Patricia Barzyk (Miss France 1980), Nathalie Marquay (Miss France 1987), Mareva Georges (Miss France 1991), Linda Hardy (Miss France 1992), Sonia Rolland (Miss France 2000), Élodie Gossuin (Miss France 2001) et Flora Coquerel (Miss France 2014), le jury aura pour mission de choisir la 91ème Miss France.
“J’ai vécu mon année en ayant une peine de cœur”
Cependant, être une Miss c’est vivre le temps d’un an une vie de privilège, faite de cadeaux, d’apparitions à des galas, des foires et pour les plus chanceuses d’entre elles, au concours Miss Univers. Cette année très spéciale est vécue très différemment par les Miss. Il y a peu, Delphine Wespiser confiait ainsi être rentrée au plus vite en Alsace pour retrouver son compagnon et elle estime que cela a “dérangé” le comité Miss France.
Pour Miss France 2018, Maëva Coucke, la raison en est tout autre. Dans les colonnes de Paris Match publié le lundi 14 décembre, elle confie que la faute revient à son ex petit ami :
C’est le plus grand regret que j’ai de mon année de Miss France. Lorsque j’ai été élue, j’étais en couple. Ce garçon s’est énormément moqué de moi, mais on est toutes passées par là. J’ai vécu mon année en ayant une peine de cœur parce que je n’étais pas bien, que ça se passait très mal avec lui. Ça m’a parfois vraiment miné le moral. C’est dommage car je n’ai pas profité de certains moments que m’offrait Miss France. J’avais des choses en tête qui me chagrinaient. J’aurais dû dire stop bien avant pour pouvoir profiter pleinement de mon année.
Si la Miss se dit “très heureuse” aujourd’hui, elle regrette donc son mandat. De quoi donner à réfléchir à l’une des 29 candidates qui sera élu ce 19 décembre au Puy du Fou.