Meghan Markle : un nouveau scandale vient entacher sa réputation
Le lien entre l'Arabie Saoudite et la duchesse de Sussex prend tout le monde de court.
Alors que l’interview de la duchesse de Sussex et du prince Harry en compagnie d’Oprah Winfrey s’apprête à être diffusée sur CBS, une grande chaîne américaine, l’actrice voit sa réputation être sapée par différentes déclarations à un moment critique, un évènement souligné par un de ses portes-parole comme une “campagne de diffamation” qui n’est “pas une coïncidence“.
Des boucles d’oreilles qui font scandale
Ce dimanche 7 mars sera en effet diffusé un entretien inédit et très attendu entre le duc et la duchesse de Sussex et Oprah, d’une durée d’une heure et demie, craint par la famille royale qui ignore les révélations qui pourraient y être faites, notamment sur le caractère austère et oppressif d’une vie dédiée à la préservation de l’image publique du palais et des sacrifices qui l’accompagnent. Le prince et Meghan n’ont eux rien voulu sacrifier et décidaient l’an dernier de quitter leurs obligations royales, d’abandonner leurs titres et leurs patronages, et de vivre à mille lieues du palais en s’expatriant dans la proche banlieue de Los Angeles.
Mais alors que la date de diffusion de l’entretien approche, le passé semble soudainement rattraper Meghan Markle. La duchesse est en effet accusée par trois membres de son personnel de harcèlement, après des plaintes déposées de façon informelle en 2018, que le palais s’est décidé à prendre au sérieux cette fois-ci en ouvrant une enquête. Un nouveau scandale, vieux de plusieurs années là-aussi, vise à discréditer la duchesse : Mohammed Ben Salmane, le prince héritier d’Arabie saoudite, accusé d’avoir ordonné l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, a offert une paire de boucles d’oreille à Meghan en 2018. Celle-ci les a porté lors d’une visite aux îles Fidji en octobre 2018, quelques semaines à peine après la disparition du journaliste du Washington Post.
Les aides du palais de Buckingham avait alors informé les reporters que les boucles d’oreille Chopard avaient été empruntées à un bijoutier, n’assumant pas leur provenance. Comme les accusations de harcèlement qui datent de trois ans, cette affaire révélée aujourd’hui au grand jour a un timing bien spécifique.