Deux mois seulement après son mariage à Dan Hayhurst, la star a pris une grande décision qui l'amènera à vivre plus au calme.
Jusqu’aujourd’hui, Pamela Anderson habitait une luxueuse maison perchée dans une résidence privée de Malibu Colony. La demeure dessinée par l’architecte Philip Vertoch mettait l’accent sur les matériaux nobles et obtenu de façon éthique, tel que le teck acheté en-dehors des zones de conflit. D’une valeur de 14,9 millions de dollars, elle vient d’être mise sur le marché par la star d’Alerte à Malibu.
Un départ définitif
Pamela Anderson a passé la totalité du confinement dans les bras de son fiancé, Dan Hayhurst, son garde du corps qu’elle a épousé en secret en décembre, loin de sa maison dans la banlieue de Los Angeles. Revenue sur la propriété de sa grand-mère sur Vancouver Island, qu’elle a racheté voici trois décennies, elle rénove actuellement les lieux avec son mari. Elle a même décidé d’aller plus loin : elle met en vente sa maison de Malibu. People révèle que la star considère que “la boucle est bouclée” :
Je refais ma vie ici, là où tout a commencé. Ça a été une folle aventure, maintenant la boucle est bouclée. J’ai quitté ma petite ville au début de la vingtaine pour Playboy, j’ai voyagé partout dans le monde, avant de rentrer au foyer — un des plus beaux endroits sur terre.
La maison de Malibu sera mise en vente ce lundi 8 mars et recèle de nombreux atouts : demeure de 5 000 mètres carré, elle est composée de 4 chambres et 4 salles de bain, d’une piscine, d’un spa, d’un toit-terrasse avec une cheminée et d’une guest house pour ses invités. Elle possède également un accès direct et privilégié à une plage privée. L’agent immobilier a confié à People que “Malibu Colony est l’une des enclaves les plus en vue de Los Angeles, depuis l’âge d’or des années 20 à Hollywood” et que le quartier résidentiel privé reste une destination de choix, aujourd’hui encore, pour les plus fortunés. La star en revanche ne regrette rien et dit avoir choisi de quitter Los Angeles pour renouer avec “ses racines“.