Paris Jackson, fille de Michael Jackson, évoque ses tentatives de suicide
La fille de Michael Jackson a traversé des moments douloureux pendant son enfance.
La fille du roi de la pop s’est exprimée à de nombreuses reprises sur ses problèmes psychologiques depuis sa plus tendre enfance. Des problèmes psychologiques qui l’auront amenée à envisager le pire, le suicide. Mais Paris Jackson a su tenir bon et est revenue sur cette difficile période de sa vie, comme le rapporte Paris Match. C’est lors du deuxième épisode de son documentaire, Unfiltered : Paris Jackson & Gabriel Glenn, que la jeune femme a raconté cette période compliquée.
Une mauvaise estime de son corps
Aujourd’hui à peine âgée de 22 ans, Paris Jackson revient de loin. La fille de Michael Jackson a évoqué son rapport au corps et la mauvaise estime d’elle-même, l’ayant poussé à multiplier les tentatives de suicide. La jeune femme s’est notamment mutilée pendant son adolescence, expliquant : « J’ai été la seule fille entre quatre garçons pendant les 10 ou 11 premières années de ma vie. Comme j’étais la seule fille, mon père adorait me déguiser. Je ressemblais à une poupée de porcelaine et je détestais ça ».
Une période très compliquée pendant son enfance, notamment après le décès de Michael Jackson en 2009. Paris Jackson, désormais mannequin, était allée vivre avec sa grand-mère, Katherine Jackson, développant à 11 ans une grosse dépendance à la nourriture. Paris Jackson explique « La nourriture est devenue une addiction, et quand un cousin m’a traité de grosse, c’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Et je suis tombée dans l’automutilation ».
Pour Paris Jackson, cette mutilation était notamment provoquée par la recherche de dopamine. La jeune femme explique trouver la même chose avec les tatouages : « Il y a beaucoup de choses qui provoquent une libération de dopamine. L’automutilation et les tatouages en sont des exemples. J’ai donc pu détourner la douleur émotionnelle en la transformant en douleur physique. C’était une forme de contrôle dont j’avais beaucoup besoin ».