Prince Harry : il aurait été vexé que Buckingham Palace refuse sa demande
La famille royale n'a pas accéder à la requête du plus jeune prince, qui a du trouver un moyen de célébrer le jour du Souvenir à sa manière.
Depuis le “Megxit” ou “Sussexit”, c’est-à-dire depuis que le duc et la duchesse de Sussex, le prince Harry et Meghan Markle, se sont retiré de leurs obligations royales, il y a comme un froid entre le plus jeune fils du prince Charles et le palais de Buckingham. La situation a empiré avec l’emménagement définitif du couple à Los Angeles, après un passage à Vancouver au Canada.
Déçu par la décision de la famille royale
Si l’on pensait que les choses ne pouvaient être pire, elles s’accumulent au contraire à une vitesse de plus en plus rapide. Ainsi il y a peu, mardi 3 novembre, Meghan Markle a voté par correspondance aux États-Unis. Hors, s’il n’est pas interdit en soi de voter pour la famille royale, quoique le Parlement anglais considérerait cela comme inconstitutionnel, c’est fortement découragé. L’actrice s’est donc encore mise plus à dos les royals. Ce n’est pas tout cependant. À l’occasion du Remembrance Day ce dimanche 8 novembre, jour où les anglais rendent hommage aux victimes de guerre, le prince Harry s’est fait débouté par le palais royal.
Celui-ci demandait à déposer en son nom une gerbe de fleurs aux Cénotaphe de Londres. Demande refusée, il s’est vu contraint à organiser propre cérémonie pour rendre hommage aux hommes qui ont combattu au cimetière national de Los Angeles, déposant une gerbe sur la tombe d’un soldat ayant servi dans l’armée de l’air australienne, une autre sur la tombe d’un soldat ayant servi sous les couleurs du drapeau canadien. Selon People cependant, il “comprend qu’il n’a plus le même rôle officiel au sein de la famille, mais il a été attristé et déçu par cette décision.”
Pour l’historien Robert Lacey, qui a récemment publié une biographie des princes Harry et William, l’enjeu est important : “Je pense que c’est une indication que les choses sont pires que ce que nous pensions. Si tout avait été au beau fixe, il n’y a pas de raison qu’une couronne n’ait pas été posée au nom d’Harry. Si la famille royale ou le palais voulaient coopérer, il semblerait tout à fait raisonnable répondre à cette demande par la positive. Je ne pense pas que cela augure de bonnes perspectives de réconciliation.“