Le second héritier en ligne pour le trône d'Angleterre aurait connu le même sort que le Prince Charles, son père. Des informations qui toutefois ne font jour que des mois plus tard.
Le Royaume-Uni, conformément à l’avis de son conseil scientifique, se lance dans une seconde période de confinement suite à la décision de Boris Johnson. Le pays qui était parti il y a quelques mois sur la stratégie d’immunité collective, soit la volonté de laisser la plus grande proportion de la population être affectée le virus pour qu’il cesse de se diffuser. Une stratégie qui présentait des risques puisqu’on ignorait à ce moment s’il était possible ou non de faire une rechute après avoir traversé l’épreuve de la maladie.
Les membres de la famille royale aussi affectés que leurs sujets
En avril dernier, le Prince Charles, héritier de la Couronne d’Angleterre, était affecté par le coronavirus, à peu près au même moment ou le Premier ministre anglais déclarait l’avoir contracté. On ignorait cependant jusqu’aujourd’hui que le Prince William avait alors lui aussi été touché. Selon le tabloïd anglais The Sun, qui a partagé l’information dans son édition du 1er novembre, ce dernier n’a pas échappé à la maladie et aurait été frappé quelques jours après son père.
C’est une surprise à plus d’un titre pour les anglais : tout d’abord parce que le prince n’a jamais rien laissé paraître, ensuite parce qu’il n’a jamais rien déclaré à ce propos. Peut-être a-t-il préféré ne pas inquiéter ses sujets, d’ores et déjà très soucieux de la santé de la Reine Élisabeth II, confinée dans le château de Windsor mais très à risque étant donné son âge avancé (93 ans). Celle-ci avait d’ailleurs fait jaser puisque lors de sa première apparition en public au mois d’octobre, elle s’était affichée sans masque pour la visite du Defence Science and Technology Laboratory.