Prince William : il serait à l’origine des années de délinquance du prince Harry
Le biographe des princes n'y va pas par quatre chemins : si le duc de Sussex a passé quelques années difficiles, c'est qu'il a été entraîné par son grand frère.
Les deux héritiers de la couronne royale, après le prince Charles, par ordre de succession au trône britannique, ne semblent pas s’entendre à merveille aujourd’hui. Certains sites spécialisés dont Celebitchy estiment même que leurs relations sont exécrables, en partie car le prince William serait colérique et qu’il d’autre part besoin de contrôler à tout moment les évènements, notamment le comportement de son cadet. On sait par ailleurs qu’il était “furieux” que ce dernier ait signé un contrat avec Netflix, qui porte atteinte à l’image sacrée de leur mère, Lady Diana, avec la série The Crown.
Le roi de l’indiscipline
D’après le biographe des princes, Robert Lacey, qui publiera prochainement Battle of Brothers: William and Harry – The Inside Story of a Family in Tumult, si le prince Harry a eu des problèmes d’images — suite à une soirée costumée où il s’était affiché avec un brassard présentant une croix gammée, et la célèbre nuit à Las Vegas avec des strip-teaseuses — c’est son aîné qui aurait lancé la machine selon de nouveaux extraits publié dans le Daily Mail.
De deux ans son aîné, il l’aurait fait participé à ses premières soirées alcoolisées, puis plus tard lui aurait fait découvrir le cannabis. Ce dernier ayant prit l’habitude de fumer, il consomma de grandes quantités de drogue en l’absence de son frère, parti faire des études à Belize. Lacey écrit : “C’est William qui avait ouvert les premières bouteilles derrière le bar bien achalandé dans la cave de Highgrove et qui avait conduit le groupe à The Rattlebone Inn à des heures indécentes de la nuit. C’est William qui était le garçon glamour aux yeux bleus au centre de ce que l’on appelle le “Glossy Posse” qui entourait les jeunes princes, déversant les boissons et inspirant toutes les réjouissances qui pousseraient son frère cadet — deux ans et trois mois plus jeune et encore un enfant — à s’autodétruire. En bref, c’est William qui avait été le Seigneur de la l’Indiscipline et l’esprit moteur derrière le fantasme séduisant du Club H (pour Highgrove, ndlr)”.
L’auteur va même plus loin, affirmant que le jeune prince était le bouc émissaire présentant à la presse les travers familiaux, quant il en était tout autant coupable : “Harry apprit que William l’utiliserait toujours se donner une bonne image dans la presse : rien d’inopportun n’a jamais été écrit sur le futur William V — le “Roi du Château”. C’est Harry qui a été présenté comme le “scélérat”.“