Meghan Markle : dans un nouvel extrait de l’interview avec Oprah, elle se dit “prête à parler”
La duchesse souligne qu'elle n'était auparavant pas libre de s'exprimer sur certains sujets, car elle devait recevoir l'approbation du palais royal. Une époque révolue.
Alors que la duchesse est accusée par trois membres de son personnel de harcèlement, après des plaintes déposées de façon informelle en 2018, que le palais s’est décidé à prendre au sérieux en ouvrant une enquête et qu’une vieille affaire qui sort un peu trop opportunément pour être due au hasard concernant des boucles d’oreilles offertes par le très controversé prince Mohammed Ben Salmane, CBS enfonce le clou avec un nouvel extrait d’interview.
“Ce n’était pas de mon ressort”
Oprah Winfrey avait prévenu : lors de l’entretien d’une heure et demie accordée par le duc et la duchesse de Sussex à la présentatrice de talk show ayant aussi bien reçu Michael Jackson que Barack Obama “il n’y aura aucun sujet tabou“. Une manière d’être clair avec le public et d’envoyer un signal fort à la famille royale britannique. Dans un extrait publié plus tôt cette semaine, elle affirmait déjà :
Je ne sais pas comment ils pouvaient s’attendre à ce qu’après tout ce temps, nous restions encore silencieux s’il y a un une recherche active de perpétuation de mensonge à notre sujet [de la part de la famille royale].
Dans un nouvel extrait, Meghan Markle révèle avoir refusé une interview à Oprah car elle n’était pas libre de parler :
Je me souviens très bien de cette conversation. Je n’avais même pas le droit d’avoir cette conversation avec vous personnellement, non ? Il devait y avoir des gens de la communication assistant à cela.
Lorsque Oprah lui demande pourquoi parler maintenant, Meghan répond :
Éh bien, il y a tellement de choses. Le fait que nous sommes à un autre moment de notre vie et aussi que nous avons la capacité de faire nos propres choix, d’une certaine manière. Je n’aurais pas pu vous dire oui, à ce moment, ce n’était pas de mon ressort. En tant qu’adulte qui a vécu une vie vraiment indépendante avant d’entrer dans cette institution qui est différente de ce que les gens imaginent, c’est vraiment libérateur de pouvoir avoir le droit et le privilège, d’une certaine façon, de pouvoir dire oui. Je veux dire, je suis prête à parler.
Un nouvel extrait qui ne doit guère rassurer ni réjouir la couronne…