Tim Robbins était dans « Top Gun », pourquoi n’est-il pas revenu pour « Maverick » ?
Tim Robbins a joué dans le film original "Top Gun" mais pas dans la suite "Top Gun: Maverick".
Tl;dr
- Tim Robbins a joué dans le film original Top Gun, mais pas dans la suite Top Gun: Maverick.
- Il a interprété le rôle de Lt. Sam « Merlin » Wells dans le film de 1986.
- Robbins a refusé de reprendre son rôle dans la suite, car il n’aime pas les suites.
- Il affirme que les suites sont cyniques et manipulatrices.
Tim Robbins, absent de Top Gun: Maverick
Nombreux sont ceux qui ne se souviennent pas que Tim Robbins a fait partie de la distribution du film culte Top Gun. Le long métrage de Tony Scott, sorti en 1986 a marqué le cinéma d’action et continue d’influencer Hollywood des décennies plus tard. Top Gun: Maverick, la suite du film original sortie plus de 30 ans plus tard, a été acclamée par le public et a réalisé un énorme succès au box-office, prouvant que la marque Top Gun reste puissante et sensationnelle.
Un rôle marquant pour Robbins
Dans Top Gun, Robbins joue le rôle du lieutenant Sam Wells, alias « Merlin ». Il s’agit d’un rôle secondaire, mais qui reste mémorable. Pourtant, à la surprise générale, Robbins n’a pas repris son rôle dans Top Gun: Maverick.
Le refus des suites
La non-participation de Robbins à Top Gun: Maverick n’est pas due à un problème avec le film en particulier, mais plutôt à son aversion générale pour les suites. En 2008, Robbins a déclaré à MTV :
« Je n’aime pas les suites, donc je ne veux pas faire de suites. [Les studios] pensent juste que la reconnaissance du nom suffira. C’est plutôt cynique, en fait. C’est de la manipulation. »
Ainsi, Robbins a préféré rester fidèle à ses principes et éviter les suites, une décision qu’il a respectée pendant des décennies.
On en pense quoi ?
Le choix de Tim Robbins d’éviter les suites peut sembler surprenant dans un monde du cinéma où elles sont monnaie courante. Cependant, il est intéressant de noter que l’acteur a choisi de privilégier l’intégrité artistique plutôt que l’attrait financier. Ce choix souligne l’importance pour un artiste de rester fidèle à ses principes, même face à des pressions extérieures.